[1]SAUVIAT. C., Occupy Wall Street, un mouvement social inédit aux États-Unis, 2011/1, Institut de Recherches Economiques et Sociales, 26 p, En ligne : http://www.ires.fr/images/DTIRES012011.pd, consulté le 05/03/2013, p.5.

[2]Nous expliquerons plus en détail le choix du nom du mouvement « Tea Party » en fonction de la référence au « Boston Tea Party ».

[3]Ron Paul est un homme politique américain, candidat à la présidentielle de 1988 pour le Parti Libertarien, représentant du Texas à la Chambre des Représentants. Il participe en 2008 aux primaires du Parti Républicain afin d’être désigné comme candidat à la présidentielle. Il prône un rôle limité de l’État fédéral, une politique étrangère non interventionniste, un marché libre, peu d’impôts et le retour à un étalon monétaire basé sur les métaux précieux.
BURGHART. D., ZESKIND. L., Tea Party Nationalism:A Critical Examination of the Tea Party
Movement and the Size, Scope, and Focus of Its National Factions, 2010, Kansas City, Institute for Research and Education on Human Rights, p.15.

[4]Le coût du Stimulus Bill pour relancer l’économie américaine a d’abord été estimé à 787 milliards de dollars avant d’être revu à la hausse à 831 milliards.
NDIAYE. P., « Du Mccarthysme au Tea Party », in Critique, 2012/1, n°776-7777, p.125.

[5]Idem., p.16.
Nous détaillerons le Porkulus à travers la caricature politique, plus loin dans ce travail.

[6]BURGHART. D., ZESKIND. L., op. cit., p.15.

[7]BAYGERT. N., « Mutations de la communication publique. Consumérisme politique et médias sociaux: l’activisme politique à l’heure du Tea Party », in CORDELIER. B. (dir), Actes du colloque « Web social, communautés virtuelles et consommation » 79 congrès international ACFAS, Chaire de relations publiques et communication marketing, UQAM, Université de Sherbrooke, 11 mai 2011, p. 96.

[8]HAUTER. F., « Le Tea Party, ou le malaise de “l’Amérique profonde” », in Le Débat, 2011/1, n°163, p.39.

[9]BAYGERT. N., op. cit., p. 97.

[10]Les élites politiques critiques sont bien évidemment démocrates mais également présentes au sein du Parti Républicain. L’objectif des teapartiers est de renouveler la classe politique par des gens issus du peuple et proches du peuple.
NDIAYE. P., op. cit., pp.119-120.

[11]HOWARD. D., « Les dommages de l’antipolitique aux États-Unis », in Esprit, 2010/7 juillet, pp.211-214.

[12]NDIAYE. P.,op. cit.,p.121.

[13]NDIAYE. P., op. cit., p.120.

[14]HAUTER. F., op. cit., p.40.

[15]Notons que les différents groupes Tea Party ne comprennent pas forcément un grand nombre de membres. Il existe une myriade de petits groupes de 5-10 personnes.
Pour une vision détaillée du nombre de membres des différents groupes Tea Party, voir BURGHART. D., ZESKIND. L., op. cit.

[16]BEIC pour British East India Company.

[17]HAUTER. F., op. cit., pp.40-42.

[18]54% de républicains, 36% d’indépendants, 5% de démocrates et 5% sans appartenance politique.
VALLET. E., « Occupy Wall Street vs. Tea Party », mis en ligne par Hypothèses: http://usa.hypotheses.org/319, consulté le 05/03/2013.

[19]HAUTER. F., op. cit., pp.42-44.

[20]Les références religieuses sont importantes dans la vie politique américaine. Plus particulièrement du côté républicain où la loi divine comme « guide » de l’action politique est omniprésente.
Entre 2000 et 2008, l’influence des chrétiens extrémistes s’est fait sentir dans tous les domaines de la vie publique et politique : G.W. Bush a encouragé la campagne contre la théorie darwinienne de l’évolution ; les organisations noires qui promeuvent l’abstinence ont été soutenues financièrement par plus de 170 millions de dollars ; les touristes qui visitaient le Grand Canyon pouvaient trouver comme explications que le site avait été formé par des inondations datant de l’arche de Noé ; l’armée américaine entreprenait une Croisade lors de la guerre d’Afghanistan ou de l’invasion de l’Irak et ses missions étaient placées sous l’autorité de Dieu.
NDIAYE. P., op. cit., p.126 et HAUTER. F., op. cit., pp.44-45.