[1]Dumoulin O., Le rôle social de l’historien. De la chaire au prétoire, Paris, 2003, Albin Michel, p. 163.

[2]Gabriel Monod (1844 – 1912) est historien, professeur à l’École normale supérieure, à la Faculté des lettres à Paris et membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques.

[3]Dumoulin O., op cit, p.164.

[4]Au sens originel du terme.

[5]Damamme D., Lavabre M.-C., « Les historiens dans l’espace public » in Sociétés Contemporaines, 2000, n°39, p.11.

[6]Idem., p.164.

[7]Foucault M., « La fonction politique des intellectuels » in Dits et écrits

      1954-1988, Paris, 1994 (1976) Gallimard, Vol 3., cité dans  Damamme D., Lavabre M.-C op. cit., p.6.

[8]Idem. p.8.

[9]Dumoulin O., op cit, p.63.

[10]Dumoulin O., op cit, p.64.

[11]Kousser M., « Are expert witnesses whores ? Reflections on objectivity in scholarship and expert witnessing » in The Public Historian, 1984/6 cité dans Rosner D. Markowitz G., « L’histoire au prétoire. Deux historiens dans les procès des maladies  professionnelles et environnementales », in Revue d’histoire moderne et contemporaine, 2009/1, p.231.

[12]Dumoulin O., op cit., p.64.

[13]Charbonneau N.,  « Le rapport entre archives et identité nationale », conférence donnée dans le cadre du cours de Van den Dungen P. Construction des identités nationales : Canada et Etats-Unis, XIXème et XXème s., 17 avril 2013.

[14]Art. 35 de la Loi Constitutionnelle de 1982, Charte canadienne des droits et des libertés. [en ligne] http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/const/page-16.html#docCont (Consulté le 27/05/13)

[15]L’ouvrage de Denis Vaugeois, La Fin des alliances franco-indienne : enquête sur un sauf-conduit de 1760 devenu un traité en 1990, Sillery 1995, Septentrion, retrace l’ensemble du processus réalisé par les historiens qui ont retrouvé ce document et l’ont porté devant les tribunaux.

[16]Charbonneau N.,  op. cit..

[17]Horseman R.C., Jugements de la Cour Suprême, Droits des autochtones, 3 mai 1990, p.903 [en ligne] http://scc.lexum.org/decisia-scc-csc/scc-csc/scc-csc/fr/600/1/document.do (Consulté le 2705/13)

[18]Mitchell C., Jugements de la Cour Suprême, Droits des autochtones, 21 juin 1990, pp.85 et suivantes [en ligne] http://scc.lexum.org/decisia-scc-csc/scc-csc/scc-csc/fr/624/1/document.do (Consulté le 27/05/13)

[19]Rosner D. Markowitz G., op. cit., pp.228, 230.

[20]Rousso H., « L’histoire appliquée ou les historiens thaumaturges », in Vingtième Siècle. Revue d’histoire, 1984/1, p.105

[21]Dumoulin O., op cit., p.91.

[22]La table des matières de l’ouvrage de Gardner J., LaPlaglia P. S., Public history ; Essays from the field, Krieger Malabar, 2004, Publishing Company, 460p. permet de donner une aperçu de l’éventail de fonctions occupées par les historiens à partir des années 1970. Cité dans Idem, p. 91.

[23]Dumoulin O., op cit., p.94.

[24]Greel. R. J. « Whose Public ? Whose History ? What is the Goal of a Public Historian ? » in in The Public Historian, 1981/3 n°1, p 44.

[25]En Amérique du Nord, des entreprises ont fait fortune grâce au concept du cabinet de « l’historien conseil ». Par exemple, la History Associed Incorporated (HAI) fondée en 1981 et dont le slogan est « The best company in History » a pour objectif de concilier l’objectivité et l’utilité de l’histoire et l’habileté de diagnostic des historiens au service de ses clients. Leurs historiens-conseil mettent en valeur les entreprises auprès de leurs employés, clients ou fournisseurs. Il s’agit d’une histoire appliquée au service des relations publiques.
En Europe, le concept d’historien-conseil ne prend pas aussi bien qu’aux États-Unis. En effet, les historiens européens souhaitant se lancer dans une telle entreprise ne trouvent pas d’opportunité dans le marché économique.
Dumoulin O., op cit., pp.99-103.

[26]Nora P. « La loi de la mémoire », in Le Débat, 1994/1 n°78, pp.179-180.

[27]Rousso H., op. cit., pp.105 et suivantes.

[28]Baussant. M., « Penser les mémoires », in Ethnologie française, 2007/3, n°37, pp.389-390

[29]Le retour de l’historien comme expert ou témoin dans les procès sera détaillé dans le point suivant de ce travail.

[30]Ministère de la Communauté française, Enseignement secondaire ordinaire de plein exercice humanités générales et technologiques, deuxième et troisième degrés: Programme d’études du cours d’histoire, 2000, pp.2-3.Disponible également en ligne à l’adresse suivante: http://www.restode.cfwb.be/download/programmes/50-2000-240.pdf

[31]Delacroix C., « Demande sociale et histoire du temps présent: une normalisation épistémologique? » in Espaces Temps, 2004, n°84/85/86, p.113-114.

[32]Damamme D., Lavabre M.-C, op. cit., p.11.

[33]Bédarida F., « L’histoire : entre science et mémoire », in Ruano-Borbalan J.-C.,  L’histoire aujourd’hui, Auxerre, 1999, Éditions Sciences Humaines, p. 337. cité dans Delacroix C., op.cit., p.43.

[34]Damamme D., Lavabre M.-C, op. cit., p.12

[35]Idem, p.13.

[36]Cité dans Idem., p.12.

[37]Rousso H, La hantise du passé, Paris, 1998, Textuel, pp. 84-85.

[38]Damamme D., Lavabre M.-C., op cit., p.16.